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BIOGRAPHIE D'AGNÈS VARDA


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Agnès Varda commence par la photographie, avant de devenir réalisatrice, et productrice de cinéma.
Elle excelle également dans le montage.
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Arlette Varda est née le 30 mai 1928 à Ixelles en Belgique d’un père grec et d’une mère française.
En 1940, les bombardements sur la Belgique contraignent sa famille à quitter le pays. Ses parents s’établissent alors à Sète, où Agnès Varda âgé de douze ans, passe son adolescence aux côtés de ses quatre frères et sœurs.
Après le lycée, elle monte à Paris, passe son bac, et fait une année d’études littéraires à la Sorbonne, ou elle à comme professeur, Gaston Bachelard, dont elle parle comme une source d’inspiration.
Agnès Varda dit de son adolescence, qu’elle a été marquée par le surréalisme, avec la lecture de Nadja, le livre d’André Breton, mais aussi par les collages de  Jacques Prévert.
Elle souhaite devenir conservateur de musée.Elle étudie  l’histoire de l’art à l’École du Louvre.
Elle suit les cours du soir, en section photo à l’Ecole de Vaugirard. Le CAP en poche, elle débute la photographie avec une  énorme chambre en bois de format 13 X 18, puis un Rolleiflex d’occasion offert par sa mère.
Elle fait des portraits d’enfants pour le compte des Galeries Lafayette, puis pour la SNCF, et photographie ses amis Sétois, pour la plupart.

1947, elle fugue vers Marseille, puis part en Corse où elle fait la connaissance de pêcheurs qui lui apprenne à remailler les filets.

Elle a fait des portraits d’Andrée et Jean Vilar et de leurs enfants à Sète et dans le parc Montsouris.
Jean Vilar lui propose de venirau festival d’Avignon pour donner un coup de main et faire quelques photos.
En 1948, elle devient la photographe du Théâtre National Populaire, dirigé par Jean Vilar (1912-1971), acteur, et metteur en scène emblématique, qui lui donne l’occasion de photographier le festival de théâtre en Avignon, qui est depuis devenu un festival incontournable.
Elle immortalise Gérard Philippe, Maria Casarès, et d’autres acteurs.
1951, elle s'installe rue Daguerre, à Paris, dans un atelier.
Elle vit toujours dans cette maison qui est en face de la Sté de production Ciné Tamaris, qu’elle à créer.

Elle  a comme voisin Alexander Calder, le sculpteur américain génial, avec lequel, elle se lie d’amitié.

« Depuis très jeune, les peintres que j'admirais, Picasso, (Jean) Fautrier, (Zoran) Music, m'ont fait comprendre la création comme une réinvention de la réalité avec des formes proposant du plaisir et de l'émotion. Ensuite, ce sont les peintres de toutes époques, puis les artistes contemporains et leurs installations qui m'ont procuré des surprises et des plaisirs. »

1954, à 25 ans, elle signe son premier long métrage,La Pointe Courte, du nom d’un lieu qui se situe au bord de l’étang de Thau, à Sète.
Silvia Monfort et Philippe Noiret, deux jeunes acteurs de théâtre, y incarnent un couple au bord de la rupture.
C’est le premier rôle de Philippe Noiret, au cinéma, qui y fera une grande carrière.
Avec peut de moyens, sans connaître grand chose, à la technique, elle réalise un film qui préfigure la nouvelle Vague, avec déjà la volonté de tourner en extérieur, avec une caméra légère, dans une économie de moyens, avec une grande liberté.
L’influence de la narration du récit, lui vient de la lecture du roman Les Palmierssauvages, de William Faulkner.

"Le découpage, les mouvements, les points de vue, le rythme du tournage et du montage ont été choisis et pensés comme les choix d'un écrivain, phrases denses ou pas, type de mots, fréquence des adverbes, alinéas, parenthèses, chapitres continuant le sens du récit ou le contrariant, etc. En écriture c'est le style. Au cinéma, le style, c'est la cinécriture." Extrait du livre'Varda par Agnès’, aux éditions Cahiers du cinéma et Ciné-Tamaris, 1994.

« C'est comme cela, je l'ai dit d'ailleurs, que j'atteignis l'âge de faire mon premier film à vingt-cinq ans, sans avoir vu vingt-cinq films, ni même dix ! » in Varda 1994 p 22.

C’est Alain Resnais, devenu un réalisateur notable, qui en assure le montage.
Lors de la première, Marguerite Duras, Nathalie Sarraute, Chris Marker, et François Truffaut accueil le film avec enthousiasme.
Ce qui est novateur, c’est qu’Agnès Varda n’a pas de référence cinématographiques, elle s’intéresse à la photographie, et se nourrit de théâtre, de littérature, et de peinture.
Devant le fait que personne ne veut distribuer le film, elle décide de répondre à un filmde commande, ayant pour sujet les châteaux de la Loire pour le compte du Ministère du tourisme.
Ô Saisons, ô châteaux, tourné en 35 mm, film qui dure 22 min, va lui permettre d’affirmer son originalité.
Vient ensuite Du côté de la côte, filmé sur la Cote d’Azur à Nice,Cannes, Menton, ou Saint-Tropez. A voir les couleurs, l’humour et la dérision, présent dans ce film, on peut penser que Martin Parr, le célèbre artiste anglais aurait pu s’inspirer de ce film, pour réaliser les photographies grinçantes de son dernier ouvrage, Life’s Beach.

Elle réalise ensuite en 16 mm, Opéra Mouffe
Sacha Vierny, un directeur de la photographie inoubliable, l’accompagne pour les prises de vues tournées en extérieur.
« La rue Mouffetard à Paris, c’est la Mouffe et le marché qui s’y tient tous les jours, c’est la bouffe. Le quartier d’aujourd’hui, avec des centaines de restaurants, de marchands d’habits, de souliers, de toute sorte de choses, ne ressemble pas du tout à la Mouffe de 1958 : c’était pauvre, sale et pleins de clochards qui dormaient dehors. Je faisais des photographies, je prenais des notes avec un type qui s’appelait Suc. L’hiver où j’ai tourné, 3 hommes sont morts de froid dans la rue. J’allais presque tous les matins au marché avec une chaise pliante. Je montais dessus et je filmais en 16 mm avec une caméra prêtée. C’était en quelque sorte L’Opéra de Quat’ Sous, mais c’est devenu pour moi L’Opéra-Mouffe. J’étais enceinte. Je sentais en moi la contradiction d’attendre un enfant, d’être pleine d’espoir, et de circuler dans ce monde de pauvres gens, ivrognes, sans espoir qui avaient l’air malheureux. J’avais de la tendresse en les regardant, surtout les vieux. Je les imaginais bébés, quand leurs mères leur embrassaient le ventre. Quand j’étais dans le marché, au milieu de toutes les nourritures, je sentais une confusion entre le gros ventre de femme enceinte et le gros ventre de trop manger. C’était entre l’envie et le dégoût. J’essayais de laisser libre court à des images confuses, pas vraiment des peurs, mais des sortes de fantasmes, quelque chose qui pouvait être l’imaginaire de la grossesse. J’essayais d’exprimer tout ça dans ce film, je l’ai fini en avril 1958, il a été montré au Festival expérimental de la Grande Exposition de Bruxelles. Et le mois suivant, au mois de mai, j’ai mis au monde ma fille Rosalie. » Agnès Varda

Elle collabore pour la presse, notamment pour le magazine Réalités. Elle voyage à Marseille, au Portugal, puis en Chine, en 1957, où elle estinvitéeavec une délégation française par le gouvernement de Zhou Enlai, pour réaliser une commande photographique.
1958, elle fait connaissance de son futur mari, le réalisateur Jacques Demy, dans un festival de cinéma, de court métrage à Tours.
Elle donne naissance à un fils, Mathieu Demy, qui fait ses premiers pas de comédien en apparaissant dans ses films, notamment (Kung Fu Master), dans lequel, Lou Doillon fait ses premiers pas au cinéma.
1961, elle tourne Sous le Pont Mac Donald, une comédie romantique muette de 5 mn, en noir et blanc, dans laquelle apparait, Jean-Luc Godard, dans un rôle à la Buster Keaton. D’autres futurs comédiens, en devenir en sont aussi, comme Eddie Constantine,  Sami Frey, ou Anna Karina.

Cette même année elle réalise un film qui remporte un gros succès. Corinne Marchand, incarne une femme confrontée à la maladie et à la peur, dans Cléo de 5 à 7.
1 h 47 de film qui correspond à 1h 47 de temps réel de tournage.
Cette histoire est l’adaptation du roman Ulysse de James
Joyce et de Mrs. Dalloway de Virginia Woolf.
Ce film l’a fait connaître dans le monde entier, et lui permet d’obtenir le Prix Méliès.
1962, mariage avec Jacques Demy, dont on se souvient comme le réalisateur des parapluies de Cherbourg, avec Catherine Deneuve et sa sœur Françoise Dorléac.
Décembre1962,elle est invitée à l’Institut du cinéma cubain. Elle fait 2500 photos au Leica. A son retour elle passe six mois à monter ce documentaire, en 35 mm qui s’intitule Salut les Cubains, dans lequel, on découvre Fidel Castro. Un certain Michel Piccoli, prête sa voix pour la voix of.
Avec beaucoup de réussite, elle  parvient à restituer l’ambiance de la vie de l’île, avec des images fixes, parfois animée. On distingue à quel point elle aime et maîtrise l’art du montage.
1965, avec Le Bonheur, son premier film en couleur, elle obtient le prix Louis Delluc, et l’Ours d’argent au festival de Berlin.
On découvre Jean-Claude Drouot, qui reste l’acteur du célèbre feuilleton (Thierry la Fronde), qui a bercé l’adolescence de nombre d’entre nous, dans un film qui prône une grande liberté.
Lors de sa sortie, ce film rencontre une critique acerbe.

1965, c’est aussi Elsa la Rose, un film en noir et blanc, qui retrace la vie d’Elsa Triolet, la muse de Louis Aragon.

En 1966, pour Christmas Carole, un film qui n’a jamais vu le jour, elle fait faire des essais à Gérard Depardieu, qui à 19 ans.

Pour Les Créatures elle choisit Catherine Deneuve, et Michel Piccoli, mais malheureusement, ce film se solde par un échec.
Tandis que la guerre du Vietnam fait rage, un certain nombre d’intellectuels, et de cinéastes se mobilisent pour prendre parti contre ces affrontements.
C’est ainsi que Loin du Vietnam (1967), un reportage coréalisé avec William Klein, Claude Lelouch, Joris Ivens, Jean-Luc  Godard, Chris Marker et  Alain Resnais, voit le jour.
Au dernier moment les séquences tournées par Varda ne sont pas montées par Chris Marker, mais son nom figure  néanmoins au générique.
1967 Oncle Yanco

1970 Nausicaa, est un film de commande de l’ORTF de 90 min, en couleur, qui raconte l’histoire d’amour d’une étudiante d’origine grec. Gérard Depardieu y tient le rôle d’un hippie qui vole les livres de l’actrice. Ce film jamais projeté, fut censuré, de par les scènes de témoignages sur le régime de la dictature des colonels.
Entre 1968 et 1970, elle part à Los Angeles, pour suivre son mari à qui la Columbia Pictures offre de tourner à Hollywood.
Elle réalise Black Panters un documentaire sur l’emprisonnement de Huey  P Newton, un activiste du mouvement des Black Panters, qui milite pour la cause des Afro américains.
Ce film permet de voir son grand talent de documentariste.
Elle se lie d’amitié avec Jim Morrison, le chanteur des Doors.

En 1971, elle est l’une des premières femmes à signer le manifeste des 343 en France, pour faire reconnaître  la contraception et l’avortement.
Elle tourne Lion's love and Lies.
James Rado et  Gérôme Ragni, les auteurs et acteurs de la comédie musicaleHair, y incarnent un trio hippie, avec une jolie actrice, qu’elle rencontre par son ami Andy Warhol.

Elle signe ensuite plusieurs films documentaires, dont Documenteur et Mur murs, qui présente les  fresques murales à Los Angeles.
Agnès Varda milite pour la cause féministe, avec L’une chante, l’autre pas. Elle donne à Valérie Mairesse un rôle qui évoque le désir des femmes à faire avancer la société.
1985, elle réalise Sans Toit ni Loi, avec Sandrine Bonnaire, à qui elle fait endosser le rôle de Mona, une jeune SDF, révoltée, qui meurt dans la solitude.
Sandrine Bonnaire obtient le César de meilleure actrice, pour ce rôle qu’elle tourne, alors qu’elle n’a pas dix huit ans.
Agnès Varda dédie le film à Nathalie Sarraute, avec qui elle était amie.
Elle offre son deuxième rôle à Yolande Moreau, qui poursuit une carrière d’actrice et de réalisatrice.
Elle remporte Le Lion d’or au festival de Venise et rencontre le public, avec un film qui fait plus d’1 millions d’entrée dans les salles.
1987, elle fait le portrait de Jane Birkin dans Jane B par Agnès V, puis tourne Kung-fu Master, dans lequel elle aborde la question du Sida.
1990 elle tourne l’histoire de l’adolescence de son mari (Jacques Demy) dans Jacquot de Nantes.
Peut de temps, avant l’achèvement du film, il décède du Sida.
1995, Les Cent et Une Nuits, célèbre les cent ans du cinéma.
En 2000, elle rencontre de nouveau le public, avec un documentaire tourné avec une petite caméra vidéo de poing. L’idée de départ du film, est le célèbre tableau de Jean-François Millet, Les glaneuses, peint en 1857.
Les Glaneurs et la glaneuse, raconte le quotidien de gens qui survivent en ramassant des pommes de terre, ou autres denrées dans les champs, ou à la fin des marchés.La Los Angeles Critics Association  lui remet le prix du Meilleur documentaire en 2001 pour ce film.
L'année suivante, on lui remet un César d’honneur en hommage à sa longue carrière.
2003, avecLe Lion volatil, elle offre un film drôle sur le Lion de Belfort qui trône place Denfert-Rochereau, en proposant de le remplacer par le chat, qui est son animal fétiche. L’occasion de découvrir Julie Depardieu, devenue depuis une comédienne renommée.

Cette année 2003, marque son apparition dans le monde artistique, avec son installation Patatutopiaqui est présentée sur trois écrans à la Biennale de Venise.
A partir d’une de ses photos, elle met en scène des pommes de terre, sujet d’un film précédent.

2004 avec ce court métrage de 27 mn, 7p, cuis, s. de b, à saisir, on découvre une certaine Yolande Moreau.
2005 elle est membre du jury du festival de Cannes.
La Galerie Martine Aboucaya, présente ses installations vidéo, elle passe ainsi du domaine du cinéma à celui des arts plastiques.

2006, La Fondation Cartier présente ; L’ÎIe et l’elle.
Cette exposition présente plusieurs  installations, dont l’une s’intitule ‘Ma Cabane de l’Echec ‘.
Une cabane de pêcheur, référence aux cabanes de Noirmoutier, où elle a tourné son premier film, recouverte de chutes de pellicules cinématographiques extraites d’une copie de son film Les Créatures, rappelle la fragilité d’une œuvre.

En janvier 2007, une installation ayant pour thème l’hommage au 2725 Justes de France,  est présentée sous la nef du Panthéon.C’est la Première commande officielle de l’Etat, faite à Agnès Varda, qui réalise des petits films courts de fiction, qui retrace les tragiques événements. Des photos en grands formats, en pieds accompagnent cette scénographie.

2008, avec Les Plages d’Agnès, elle revient sur sa vie, avec un film, qui se veut une rêverie poétique, plus qu’un film autobiographique.
Le film obtient le César du Meilleur Documentaire en 2009.
2009, lui vaut aussi l’attribution du grade de Commandeur de la Légion d'Honneur.
Elle reçoit également le Prix Henri-Langlois, cette même année.

2011, elle propose Agnès de ci de là Varda, une belle série  diffusé sur Arte.
Elle parle de sa passion pour les artistes et l’Art contemporain.On peut apercevoir Miquel Barceló, Pierre Soulages, Annette Messager, Christian Boltanski, Sokurov,ou l’atelier de son ami cinéaste Chris Marker.
Il est également fait mention de Magritte, Dali, Calder, Artaud, Ernst, Brauner, Delvaux, Tanguy, ou Niki de Saint-Phalle, pour n’en citer que quelques uns.
On découvre ainsi, que l’Art reste au cœur de son  itinéraire si singulier.
2012, elle est invitée à Pékin, pour y présenter des images inédites réalisés en Chine, issues d’un reportage qu’elle à fait en 1957, ainsi qu’une installation présentant un portique rouge, ornée de ses photographies.

Agnès Varda qui aime le cinéma de Luis  Buñuel, aime à le citer, en disant : «  entre le mystère et le hasard se place l’imagination qui est la liberté de l’homme ».

Elle travaille actuellement à une exposition à Aix-en-Provence qui ouvrira le 25 janvier dans le cadre de la grande manifestation culturelle « Marseille 2013 ».

Depuis son premier film, la thématique de la mort est souvent présente.
Lors du tournage de La Pointe Courte, un des acteurs bénévoles, Pierrot, à qui elle dédie son film décède de maladie.
Dans Cléo de 5 à 7, la maladie et la mort sont de nouveau présentes, il en est de même pour Sans toit ni Loi, qui voit la mort de Mona.
Dans les plages d’Agnès, l’évocation de tout ces gens connus ou méconnus, qui l’ont accompagnés au fil des ans, et qui s’en sont allés.
On pourrait citer Philippe Noiret, Sylvia Monfort, Delphine Seyrig, Gérard Philippe, Jean Vilar, Maria Casarès Antoine Bonfanti, un ingénieur du son, ou Sabine Mamou, monteuse, puis actrice sur Documenteur, ou bien encore William Lubtchansky, un des plus grands chef opérateur, de la nouvelle vague, qui travaille à ses côtés, comme assistant sur  Elsa la Rose, ou Daguerréotypes.

Agnès Varda est un peut un capitaine de bateau, qui a fait des tours du monde, au travers de ses films.
Contre vents et marées, elle a su au fil des décennies tenir le cap, pour non pas faire carrière, comme elle dit, mais pour faire des films.
Des vents contraires, elle en a souvent rencontré, avec la difficulté de trouver des financements et des distributeurs pour que ses films puissent être vues dans les meilleures conditions en salles.

Tout(e) Varda
"1m48 ,60 kg, 1,8 kg de création"

Ciné-Tamaris et Arte Éditions  rééditent l’ensemble de l’œuvre d’Agnès Varda, avec pas moins de 22 DVD.
La Pointe courte (1954) , Cléo de 5 à 7 (1961)
, Le Bonheur (1964)
, Les Créatures (1965)
, Lions Love (... and Lies) (1969)
, Daguerréotypes (1975),L’une chante l’autre pas (1976), Mur Murs (1980)
, Documenteur (1981)
,Sans toit ni loi (1985), Jane B. par Agnès V. (1987)
Kung-Fu Master (1987)
,Jacquot de Nantes (1990)
,Les Demoiselles ont eu 25 ans (1992)
, L’Univers de Jacques Demy (1993-95)
,Les Cent et une nuits (1994)
, Les glaneurs et la glaneuse (2000), Deux ans après (2002)
,Les Plages d’Agnès (2009), Agnès de ci de là Varda (2011).
Quelques veuves de Noirmoutier (2004)- le double DVD VARDA TOUS COURTS comprenant tous les courts métrages d’Agnès
- Album de 132 pages
- 1 pochette surprise
- 2 DVD surprise.

 

Pour en savoir plus sur l'auteur de cette rubrique
Chronique par Roland Quilici
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Au service de la photographie depuis 2001