L’Aubrac, pour moi terre d’auvergne avec ses couteaux laguioles et son plat fétiche l’aligot dont il ne sera nullement question ici (même si Laguiole est nommé pour sa fourme), permet, aujourd’hui, la sortie d’un beau livre intitulé « AUBRAC Des racines et des hommes» dont l’édition est vraiment soignée et ne dépareillera pas vos étagères ou véritable bibliothèque…
A voir, à lire
Si je vous parle de cet hebdomadaire aujourd'hui, ce n'est pas pour sa nouvelle forme mettant autrement en valeur les infos qu'il privilégie. Mais, cette nouvelle mouture fait la part belle à la photographie en présentant, par exemple, en double page, le travail d'Aris Messini/Afp ou en publiant un reportage-photographique sur « Le village des naufragés » de Cyril Marcilhacy/Cosmos...
Au départ, ce livre devait être un ouvrage pour architectes et autres professionnels du bâtiment ; bien sur, cela le reste, mais les photos du passé et du présent de ce monument (photos que j’aurais aimé prendre…) accompagnées d’un texte instructif (l’inverse est également vrai) font de ce livre un témoignage de ce qui n’était pas qu’une piscine, une reconnaissance artistique de l’art urbain qui peu à peu a pris possession des lieux de manière provisoire...
Vous vous rappelez, j'avais fait un « coup de gueule, et même deux à la suite d'un essai sur le site PhotoBox. A la suite de ma dernière chronique, la responsable client, après maintes excuses, m'a proposé de tester un de leur produit phare : le Livre Photo Premium A3.
Plutôt classe, ce n'est pas la poste qui me livre, mais une société bien connue dans ce genre. J'ouvre le colis plutôt lourd qui renferme un grand bel ouvrage : il fallait au moins cela pour rendre honneur à Roy Stuart ou plutôt à son travail et univers photographique.
Oui, mais voilà, autant vous le dire tout de suite : je n'aime pas le genre, ni le thème trop facile à mon goût...
Bien sur, à leur lecture, vous direz que ces deux livres sont similaires : quelque soit la marque de son boitier, le principe des objectifs est identique. Mais, pourtant, aucun photographe n’accepterait spontanément que l’on fasse l’amalgame. Il a voulu telle marque, il entend bien posséder également les objectifs correspondants et si d’aventure, ces derniers étaient fabriqués par des indépendants, il veut être certain que les focales proposées seront adaptées...
Voici un ouvrage qui livre plein de choses mais je m'interroge parfois : dans un encart, servant parfois à légender une photo, parfois à renforcer un texte comme une sorte de résumé, il est dit « dans cet ouvrage consacré à l'évolution des appareils photographiques » alors que le titre dudit ouvrage est « les fondamentaux de la prise de vue »...